Des modules U7 programmés
Publié le 27/10/2017
Le District a programmé plusieurs modules U7 dans les différents secteurs du département pour les encadrants des équipes U6-U7. Les inscriptions se font à partir du site de la LFNA en cliquant ici.
Ces formations auront lieu :
- samedi 18 novembre à VILLAMBLARD (8h – 17h)
- samedi 02 décembre à SARLAT (8h – 17h)
- samedi 02 décembre à CHATEAU L’EVEQUE (8h – 17h)
- samedi 16 décembre à MONTIGNAC (8h – 17h)
Nous vous rappelons que les inscriptions aux formations sont clôturées 15 jours avant le début de celle-ci et qu’il faut un nombre minimum de 12 inscrits pour pouvoir la maintenir.
U6-U7 : Savoir encadrer les plus petits
Le football est différent pour ces jeunes joueurs qui débutent le football. Le magazine Vestiaires dans son numéro 78 de septembre-octobre 2017 consacre d’ailleurs un dossier à cette formation. Extrait :
« Un enfant qui vient à l’entraînement, pas un joueur de foot. C’est la catégorie qui connaît le plus de turn-over en termes de licenciés, d’une saison sur l’autre (35-40%). Celle aussi qui attire le moins d’éducateurs chevronnés. Ceci explique peut-être cela. Et pour cause, le football des 5-6 ans est loin d’être le plus simple à appréhender au sein d’une association. Les caractéristiques singulières de ce « très jeune » public imposent à tout encadrant d’accepter (et d’être en capacité) de primer le jeu sur l’enjeu, la psychomotricité sur la technique, la découverte sur la tactique ou encore le plaisir et la bienveillance sur l’aspect motivationnel. D’ailleurs peut-on réellement parler de football ? Peut-être pas. Et c’est sans doute la raison pour laquelle les U6-U7 sont si peu « attractifs » pour les « passionnés de ballon rond ». Paradoxalement, la catégorie réclame un véritable savoir-faire. Des gens capables de faire aimer le foot à des enfants en plus d’assurer, de manière récréative, l’apprentissage des acquisitions motrices, qui sous-entendent les habiletés spécifiques à la discipline. Programme plus riche qu’il n’y parait. Or, sans volonté de noircir le tableau, le fait est que trop d’enfants se détournent du club parce qu’ils ne s’amusent pas la semaine, ne jouent pas suffisamment le week-end, ou pire, se lassent d’un « coach qui gueule », plus par impuissance que par méchanceté du reste. La faute à un défaut de formation le plus souvent, donc de compétence, qui le pousse à proposer un contenu inadapté sur le fond comme sur la forme. »
Retrouvez un dossier complet dans le magazine.